Joëlle Kilimnik
Joëlle Kilimnik enseigne l’art du chi, méthode Stévanovitch après 14 ans de pratique et une formation continue à l’enseignement.
Active dans le milieu social, je me suis formée en parallèle à l’art du chi, méthode Vlady Stévanovitch. Je continue avec joie à approfondir cet art au cours d'une formation continuée et d'une recherche personnelle . J’y ai trouvé au-delà des techniques de santé éprouvées et millénaires une pratique qui permet de se centrer, d'unifier le corps, de trouver un meilleur équilibre, de renforcer son organisme. A travers la transmission, je désire partager un outil à la portée de tous, une recherche corporelle au service d'un un mieux-être.
Dans un monde multitâches, où la performance et le zapping sont à l'honneur, il est bon de (re)visiter dans la bonne humeur ce qu’apportent la détente et la respiration, l'ancrage et le centrage.
Active dans le milieu social, je me suis formée en parallèle à l’art du chi, méthode Vlady Stévanovitch. Je continue avec joie à approfondir cet art au cours d'une formation continuée et d'une recherche personnelle . J’y ai trouvé au-delà des techniques de santé éprouvées et millénaires une pratique qui permet de se centrer, d'unifier le corps, de trouver un meilleur équilibre, de renforcer son organisme. A travers la transmission, je désire partager un outil à la portée de tous, une recherche corporelle au service d'un un mieux-être.
Dans un monde multitâches, où la performance et le zapping sont à l'honneur, il est bon de (re)visiter dans la bonne humeur ce qu’apportent la détente et la respiration, l'ancrage et le centrage.
Tai ji Quan & Qi Gong
"Tête au ciel, pieds à la terre
Corps détendu, la conscience se dilate
A l'extérieur, l'abandon
A l'intérieur, la paix
Le coeur comme un lac d'eau limpide; attitude humble
Pas une pensée ne venant le traverser
L'esprit s'identifie au vide infini du ciel
Quand l'attention revient à l'intérieur
Tout est bon, tout est bien, tout est à l'harmonie du Qi"
traduction libre d'un poème taoïste, donnée par Bernard Besret dans son livre A hauteur des nuages, Paris: Albin Michel. p.109